Les voix dans le rêve sont polyphoniques, paysage action objets temps indissociablement s’accordent. Parce que les dimensions diverses sont une seule et unies le rêve est vrai, à l’égal des éléments diurnes qui se succèdent matériellement l’un l’autre et se pulvérisent. Sans envers ni endroit, au fil du rêve, à peine le temps de s’étonner, l’image immédiate venue, faire la lumière sur cette étrange histoire colorée, aller vivre ailleurs. Le doute ? Pas d’arrêt ni retour puisque derrière le paysage a changé ou sinon l’insomnie.