Comme on regarde au ciel, les hommes sur terre, suivis des robots qui s’y penchent. Étude studieuse sous les ventilateurs, émergence du monde parallèle, les robots qui ont sautés dans le premier carrosse vous regardent à l’écran.
Les hommes se distinguent des animaux en ce qu’ils prêtent des intentions et un avenir aux machines ; qu’ils accomplissent ainsi le dessein caché de l’univers à se découvrir île vierge.
Une indécise voie lactée superposée d’un calque noir délavé, couleur des yeux de mon robot.
La réponse de la conscience tardive, le panier à mémoire percé, la labilité de la mémoire sans égard. Nos prétentions jouées par des machines définitivement détraquées.
Il a apaisé le rêve de ses parents en les laissant errer dans les catacombes, par lui accompagnés un bout, tout absorbé à se pavaner dans sa nouvelle défroque de dictateur. Confiance aveugle, masques arrachés, applaudir pour l’éternité.
Alambiqué, certes pour la lectrice simple que je suis, mais puissant et ça c’est formidable,
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