je perpétuais la grande grande faute, je m’effondrais en pleurs, je ne m’enterrais pas vivant, la tristesse accourait m’offrir secours, je ramassais dans la fange des miettes de sacré, en lourde attente je relevais la tête, aux chutes lyriques fugaces, aux illusions du commencement
dans TROIS FOIS RIEN
Alors qu’il fait un si beau jour de plage ! Ah que les vagues sont merveilleuses, aujourd’hui.
Le sable, lui, se moque des ceux qui s’obstinent à le piétiner… Ride-eau !
« Misérable, éphémère, de passage, bien peu de chose certainement ; je constate néanmoins qu’il faut tout un océan pour effacer la trace de mon pied sur le sable. » (Chevilard).
fayçal, votre activité sur le net ?
Oui… (rires)