Il ne se voit pas, dans la lune, les miroirs ne le regardent pas. Il n’entre pas dans son visage, sans pour autant être fantôme, personne ne le remarque. Le rêve s’évade de l’image dans le miroir, bien y caler sa tête, y considérer son âge, assuré de le précéder, d’être inaltérable, à soi-même son propre sujet. À y toquer, l’image mentale du visage ne coïncide pas avec celle au miroir, où sont les apparences ? Dût-il s’y arrêter entre deux portes c’est une tête d’un autre âge. L’image est sans dimension et le cadre du miroir est flou, tout comme l’ombre incommensurable du réel qui le borde. L’image est le miroir qui réjouit ou repousse, aux dés jetés le dos tourné.
Il y a comme du Magritte dans l’air (« Not to b reproduced », 1937)… à moins que ce ne soit un clin d’œil de Twitter ! 🙂
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not te be…
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I would prefer not to …
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