Dans les petites sucreries chéries qui se mangent toutes seules il y a l’histoire de la distinction de l’homme en tant qu’être de la langue. L’homme n’est pas un paysage facile à décrire de l’extérieur, il n’est pas un paysage. Comme nous nous croyons parfois être à même de raconter le fil rouge de ce que sont nos décisions, les raisons les sentiments intimes qui nous y ont poussés, et qu’en même temps, nous sommes déjà dans l’incapacité de décrire à posteriori comment en être arrivé là (ni mieux éclairés quant à ce qui conduit à se poser de telles questions) alors par dépit nous concluons que « je est un autre » ; sinon d’avoir fait de l’aventure l’unique moyen d’être saisi par la vie, ou autre chose encore rendue à l’immobile, s’abandonnant à se laisser pousser une énième tête énuclée, recommencer, tout fout le camp.

Mac Luhan est un humoriste de classe (ou de glass)…
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