« Sans doute le sublime, l’éternel existent, mais tout cela se trouve hors de la vie ; ce qu’il faut, c’est ne pas vivre, se fondre avec le reste, puis dans un calme serein, regarder avec indifférence. (Anton Tchekhov, Carnets, P. 227, Ed. C. Bourgois)
La nature réconcilie l’homme, c’est à dire qu’elle le rend indifférent. Et dans ce monde, il faut être indifférent. Seuls ceux qui sont détachés sont capables d’être clairvoyants, d’être juste et de travailler ».
(Lettre de Tchekhov à Souvorine du 4 mai 1889, in Bibl. de la Pléiade, Anton Tchekhov, volume 1)
dans A. Tchekhov, EN LISANT
You know what… ?
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