« Ils parlent des besoins et des fourrages, puis commencent à se quereller, à se dévorer mutuellement ; ils ne croient pas ce que dit l’autre, ils se méfient. Qui tient l’auberge et saoule le peuple ? Le moujik. Qui a dilapidé l’argent de l’école ? Le moujik. Qui parle dans les assemblées contre le moujik ? Le moujik ».
(Anton Tchekhov, Carnets. p.222, Ed. C. Bourgois)