
Vie d’arbre, effiler les raides écailles mouillées, grandir voler de toutes les feuilles de la forêt, livrer aux embruns la vie des poissons dépités de si haut tombés, s’élancer mendier la lumière des étoiles en obole dans la coupelle boueuse, notre soupe ontologique délave la couleur des yeux. Entre les mains la soie du voile dilate la perspective.
Très émouvant de revoir cette vieille photo, que je croyais disparue à jamais.
Merci.
les coffres-forts des sirènes regorgent d’uniformes de déguisements, elles dépêchent de tout temps des représentants gardes-robiers, rêve en trompe l’oeil, pas un appât ne se perd.