Aveuglante, la voie du bonheur sur l’aile d’Archimède entraîne d’insaisissables rondes, un grain de sable enveloppe les dunes et tangue aux profuses sirènes des monts hydrothermaux, des vestiges déplacent les endormies par les portes entrebâillées des silences d’hypnose — aux rires des bonimenteurs, réveillée dans le miroir et la mer en dessous, le rose, le bleu le rouge les tours les lèvres — les envies pressantes les demi-dieux l’avenue la voiture le pétrole et l’acier des puits aux plateformes d’extraction, une alliance, la peau chaude au vent où il veut, qui en efface la trace.
dans AIR, MICROFICTIONS