Onde stationnaire, en attendant de disparaître, fleurs, bordure, bordure de fleurs nocturnes aux reflets incertains, pelote froissée de lucioles, venue lente et soudaine étincelle – une estrade, un filet invisible, un hamac ici-même, les hublots fatigués ouverts, alizés, la croisière orbitale des hiboux, les squares les landaus vides. 1936, descente au cabaret, étoffes ajourées, Titanic bétonné, corps à plumer.
Coucou Mozart, coucou Chopin, bonjour le jazz,Arturo Benedetti Michelangeli,1957 –Second mouvement Adagio Assai du Concerto pour Piano en Sol Majeur de Maurice Ravel. Philharmonia Orchestra/Ettore Gracis – London March