Quelqu’un, partant d’une image bien précise, parle tout seul de l’invisible. Les systèmes de grands espaces y verrouillent tout événement et tournent en rond au pas du métronome. L’errance obtuse produit des faux-souvenirs. Des géants et des nains lisant les journaux s’y coupent la parole. Des folies plus grandes le prenaient dès qu’on l’approchait. Quelqu’un pendu à ses propres paroles se débattant pour dormir.
Belle musique sphérique……………..