en entrant dans la nuit chaque jour cherche une sortie ∴ la nuit d’hiver couvre le croassement blanc ∴ le bruit ne s’échappe pas, il tombe ∴ l’éternel silencieux cache sous le sable l’imparfait alphabet d’une langue sans lecteur ∴ imaginer ceci faire cela sans savoir quand ça a commencé ∴ la glace lumineuse suspendue sous la rivière ivre, dans la lumière l’air gélif ∴ de la cendre compactée dans la résine, fatigue de la lumière, les cendres n’ont que le vent

Pourquoi « fatigue de la lumière ? »
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comment dire … au milieu du phrasé ce balancement, coulant de source, s’est présenté
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