Les constructions complexes n’offrent qu’un rare instant de recul, un bref effet de vision tout autre la fois d’après, une échappée, il faut être emporté. D’où nous sommes nous l’entrevoyons plus tard, pataugeant dans des prouesses barbares. Le répit nous inviterait à fuir, mais c’est impossible. Propulsés ensuite dans les abîmes les plus lourds.
Dans la pagaille les déconstructeurs foutent mal à l’aise. Embouteillages monstres aux sorties de secours.
Quant au fond, surveilles bien les entrées, les portes ont été fracassées.
Exercices de liberté dans la grande pagaille du troupeau. La logique floue est conseillée.
Entre otages nous nous regardions sans rien en dire.
Mis bout à bout ça ne fait qu’un bout borgne, les fissures du miroir à trois faces prolongent l’illusion.
Il est vrai que le montage des films de l’époque d’Einsenstein- mais ici, à la fin de cette vidéo, le nom de Dziga Vertov apparaît hélas en minuscule… – jouait sur un rythme de jazz avant la lettre.
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