Il est tordu assis sur le parvis devant le portail ensoleillé, les obsèques d’un grand homme attendent que passe le matin, les chanteurs presque prêts répètent dans le chœur au-dessus des touristes, les couronnes de fleurs s’amoncellent au pied de l’autel, un mendiant illuminé de toutes les idées schizos du monde contenu par la manche miraculeuse qu’il se fait, craint par tous, des yeux suivi sur la rive, dans sa barque le défunt.
Un peu comme l’Île des morts de Boecklin…
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