dans CHEMINS

masque

michaux-sans-titre-1939

Il ne vieillit pas, il est son propre masque, seuls ses yeux son mouvants mais enfermés derrière. Sa base s’est fendue, il disperse les débris un pied ici un pied là. Il arrive le vent, les bourrasques, qu’il regarde du coin de l’œil. Les cendres l’asphyxient.

un commentaire

Commentez ?

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.