Pérégrination en time-lapse, des cannes blanches qui cassent, une odeur de lotus flotte, au ciel sur le caillou-lune marche dans un champ d’argile inondé. Les bateaux sur lesquels mettre les pieds coulent.
Les nuages résonnent de la vie des vagues, d’en haut c’était palpable, un voile se posait sur les yeux. Le corps trop loin pour y tendre respire parmi les grains de sable du pont pour d’autres corps plus lestes. Indisposé, noyé, tout se précipitant, la mer est un abysse, en sacrement ses plus belles visions qu’un cri inaudible rompit.