Ok, l’homme serait un petit animal raisonnable aimant à croire que sa vie se rattraperait dans un poème à l’eau de rose. Avançant ou reculant, le cercle et lui tournant asynchrone, du sentiment d’être rendu au milieu du chemin, côte à côte avec robot hilare, alors que l’esprit quitte le corps. Aux généreuses lisières et transferts d’attributs, l’âme-sœur s’élève sous des traits machiniques, son ombre découpée aux contours lumineux. Petit christ à tenir ses promesses sur le champ, et l’enfer de nos nuits.
L’histoire, par laquelle les images s’élèvent, l’air du temps présent, la raison des croyances, celle qui d’emblée se donnait à comprendre, l’information qui manquait, reconnue fermement par le grand nombre, celle avec des traversées béantes en son centre, des périphéries attrapées, une histoire, un pas dedans qui, d’espoir, conduirait à d’autres histoires, hors péripétie, tellement, celles qui sauveraient, celles qui existaient déjà ailleurs, simultanément. On s’en raconte, ce doit être vrai, mais pas encore ici le bon embranchement. Continuer alors sans issue, sinon s’en retournant, en retranchant. À un certain point s’immobiliser, les racines ayant pris dans le mur.
Ok, l’homme serait un petit animal raisonnable aimant à croire que sa vie se rattraperait dans un poème à l’eau de rose. …
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