La pensée est toujours représentée comme un édifice plus ou moins habitable, chacun parle de cet édifice de la pensée où se pressent les philosophes et leurs fidèles, tous plus ou moins agités, ne cessant d’entrer et de sortir. Mais on ne peut pas représenter la pensée. Pour moi, c’est cela, ma pensée : des vitesses que je ne peux pas voir (T. Bernhard, Perturbation p196, Gal. Col. L’imaginaire)
dans EN LISANT, Thomas Bernhard