Aucune pensée, aucune image, qui ne tienne, mais des flux confus pour tirer le rideau derrière quoi on est couché, suffisamment lointain pour fermer les yeux, réveillés parfois par ces besogneux aux ordres nouveaux. Un destin solitaire fougueux galope pendant que tu crois reconnaître de la poussière. La faucheuse est encore tombée.