in the night, I am quite a romancer

Quelque fois au réveil j’entends une musique venue de très loin, brouillée par des levées de grands vents invisibles, de sorte que je ne sais si elle existe ailleurs que dans ma tête.

Christophe Colomb avait bien du mal ce matin à traverser le tunnel, peut-être qu’il y avait passé la nuit, il se retourna et me vit, complice de ce que le mur, hein mais non qu’il ne le tenait pas, comme les autres devaient le voir, il s’y tenait comme le casque d’un cosmonaute. Des babilles et ritournelles, des évasions sans rivage, des invasions génocidaires, Christophe Colomb n’en finit pas d’errer, il m’a demandé où était la lune mais n’y voyait plus.

Commentez ?

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.