« temps de la vie »

toilettage de printemps nez DouglasCe n’est pas exprès, au départ était-ce sans doute pour s’accommoder au mieux du travail, donner du poids au rêve, la vie n’est pas si facile, pas toute intelligible, même si le bout du nez collé aux chiffres intangibles des affaires à faire. L’environnement, la communication, les rapports de toutes sortes devenus bruyants, rapides, imprévisibles, plus ou moins réussis, pressants, urgents. Pourtant on se demandait comment s’en passer, de l’invasion, du travail. On rêverait encore, et cette idée qui poursuit ; nous aimerions produire le silence. Comme le temps est appelé au secours pour comparaître, le couloir de la salle d’attente est bourré à craquer : là on a commencé à imposer le respect, c’est à peine si on osait encore respirer, on était en sueur, l’odeur épaisse, coupable.

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