oui, puis de la photo on se lasse, non? à moins de la tremper au contact, au pas de la mémoire fraîche retrouvée. Ou l’imaginer, en attendant, punaisée, où le temps est passé, au mur d’un chalet, délavée, ses contours fondus aux couleurs de la lumière de la durée, du froid, du chaud, de l’humide, du papier, de ce qu’il y a image redevenue, comme une autre photo, retrouvée, tombée d’un journal. Les photos aident à passer le temps libre où rien à dire, quant à penser c’est le chien qu’on va promener, qui a été se promener, nul souci, quoi que – c’est rare, temps de rêve, et les yeux levés épier d’autres espaces derrière les structures. la lumière de la photo s’arrête, s’empâte d’être trop relevée, comme mouche on tourne en rond dans sa focale, on décroche, par la fenêtre brisée on croit voir l’image, laissée derrière, sur le mur, sa marque blanche, son pochoir d’absence.
Beau !
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oui, puis de la photo on se lasse, non? à moins de la tremper au contact, au pas de la mémoire fraîche retrouvée. Ou l’imaginer, en attendant, punaisée, où le temps est passé, au mur d’un chalet, délavée, ses contours fondus aux couleurs de la lumière de la durée, du froid, du chaud, de l’humide, du papier, de ce qu’il y a image redevenue, comme une autre photo, retrouvée, tombée d’un journal. Les photos aident à passer le temps libre où rien à dire, quant à penser c’est le chien qu’on va promener, qui a été se promener, nul souci, quoi que – c’est rare, temps de rêve, et les yeux levés épier d’autres espaces derrière les structures. la lumière de la photo s’arrête, s’empâte d’être trop relevée, comme mouche on tourne en rond dans sa focale, on décroche, par la fenêtre brisée on croit voir l’image, laissée derrière, sur le mur, sa marque blanche, son pochoir d’absence.
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