m o n . n o m

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J’entendais mon nom sans savoir qu’il s’agissait de moi. Par déduction à force de l’entendre, quelques furent les autres autour, je compris peu à peu, avec les jours qui passaient et les inconnus qui s’approchaient de moi, les inconnus le restant, qu’il s’agissait bien de moi ; c’était plutôt bien pour commencer à marcher, pour aller quelque part, le plus loin possible : juste entendre flotter le nom qui était celui de la voix de la mère.

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