Irruption en plein jour de quelque chose d’invisible et de silencieux, scène vide (ombre portée d’un cauchemar ?). Nul part d’autres plus tranquille où se rendre. Le vent ferme les volets.
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L’horizon est un excitant. Le ciel est redevenu calme, en même temps il désespère. Quand penser est impossible, géométriser le visible, voir une volonté dans la matière, aucune démonstration, chaque chose au regard exposée comme une surface sur un volume, une interface, occupant un certain périmètre, et des franges, des eaux nocturnes, il amalgame des densités serrées. constate un relâchement à leurs couronnes.
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Oubliant de respirer. plus tard presque tombé, s’agit-il d’être plus haut ?
Ou de se déplacer vraiment, très lentement, avec le minimum de mouvement, le plus près et le plus simplement possible, de telle sorte que de l’extérieur, le temps fasse que tout semble parfaitement immobile.
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Dans la pièce illuminée, même si je ne dors pas je rêve. Un cadre noir porte son ombre au centre. j’entre dans le noir.

La pendule est aussi le pendule du temps.
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