Chercher un dieu qui ignorerait l’existence des hommes. La terre du ciel est la plus belle. Heures retranchées à compter les nuages. Les réincarnations peuplent l’enfer.
Dépassé, la probabilité d’une surprise passe de très faible à nulle. tout reste improbable. le temps est pris, le temps traîne, l’affaire est lâchée, le temps, cher payé ne compte plus, trop vite disparu.
Derrière les écrans colorés un nouveau type d’ennui est créé tout en gris sur des lumières partout où impossible de voir. Mondes engendrés que les générations ont à charge de creuser, de remonter. Creuser profondément de quoi monter un château de sable, à quoi s’accrocher, avant de glisser, s’engouffrer.

Le gouffre ou « L’Avalée des avalés » : ce livre, revenu comme un flash au vu de la photo de 1917, garde du charme incandescent la cendre… 🙂