« Le mieux, c’est de faire semblant de comprendre. / Faire semblant de comprendre, mais en fait ne rien comprendre. / En réalité je ne comprends rien, strictement rien. / C’est comme ça. »
Gao Xingjiang, dernières lignes de La montagne de l’âme, éd. de l’Aube, 2000, trad. N. et L. Dutrait, p. 670