La surface du puzzle s’est accrue jusqu’à épouser la moindre anfractuosité du dernier point visible. Puis le regard revient, s’attarde au plus petit point, se pose à portée de main, il croise Daedalus égaré creusant son labyrinthe pour s’en évader, revenir au plan. Pas la moindre seconde à perdre, pourtant il n’y a aucun temps en réserve, le temps qu’il imagine n’existe pas.
Par nuit claire quatorze milliards d’années dorment au fond des yeux. Les calculs nous dépassent, cinq à dix milliards d’années resteraient encore pour épuiser la connaissance de l’univers observable.