Il terrasse A. Le temps passe. Un étendard. Un petit tour. A se représente. A le frappe. Le cercle se troue, d’épuisement. La mer revient, on est en bateau. Il y a toujours quelqu’un pour entendre une sirène, le combat reprend du sens. Le vent essaime, l’averse, les oiseaux sur les terres, une vie suffit amplement. Il y a quelqu’un d’autre, un lecteur de la langue que va éclairer la lune.
dans TROIS FOIS RIEN
Je crois que le photographe a voulu dire prier pour moi, je vais mourir.
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Bof, aujourd’hui terrible gueule de bois, d’autres appellent ça le désenchantement, quoi qu’il en soit, cela ne va pas de soi. Arête dure et tranchante verticale à la rencontre d’une ligne horizontale noyée dans le floue très vague de l’artiste.
Plus aucun repaire en vue sinon la tombe de quelques marins.
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