Le cerveau est un organe dont la vie dépend plus des astres vivants ou disparus qu’à nos préoccupations des jours. Nous aimons à nous y confondre mais notre affairement le détruit. Ce dont il se remplit tient en partie à notre insatiable épanchement envers la répétition et peu lui chaut l’original, un zeste d’illusion sera plus léger. Le temps de notre passage enrobe un fossile friable. Nos amarres tanguent sur la crête d’une vague.