bien sûr on n’est pas celui qu’on croit être, les heures défilent tu roules le paysage plus vite encore. en fait tu ne bouges pas, l’image te ressemble, elle te fait peau, et si hélas elle t’y piège tu n’arrêtes pas pour autant le temps. centre en émulsion, chevalier rivalisant d’exploits les moulins te mènent par le bout du nez, tu finis par te voir de travers, ou tu n’as pas vu le virage, les moulins s’évanouissent. par quel bout reprendre, tu ne ressembles pas à ce que tu avais pu t’imaginer, il n’y a même rien à s’imaginer.
dans TROIS FOIS RIEN
Je ressens tant de désillusions… La réalité amère d’un constat… Enfin, peut être que ce ne sont que mes projections personelles sur tes mots, En tout cas, merci, j’aime beaucoup!!!!