
~vhorr’ ~ vhorr’ ~ vhorr’ ~ le battement des ailes soulève et rabat l’air sur une parfaite ligne droite qui va peu à peu s’inclinant jusqu’au sol. Le cygne se relève, à pleins poumons son cou propulse, expectore une fois encore ce Vhorr’ ~ soufflé hors des narines, qui réveille l’intrus endormi dans le lierre.
Sur le pont au dessus d’un coté l’autre, au froid, au chaud, les jours dispersent les sujets tempérés qui s’y démènent, égayent leur fatigue, donnent de l’aise à demain, distribuent des ordres et des prix, diplômes et monnaies, sèment au petit vent la tempête à venir. De temps à autre entre deux averses un snipper masqué rejoue à qui perd gagne.