collier sans laisse

Sa tête dodeline, hoche, épouse sans heurt les nids de poule, le corps chevillé au milieu au pied du pare-brise, il pleut un peu. Les chiens passent aussi de la fenêtre aux chemins, vivants, à promener leur maître avec dignité, candide témérité, portant, supportant les codes les lois les instructions ; les admettent, assument par avance, d’un maître qui y obéit plié noyé dans le travail et ses discussions assommantes à propos de l’œuvre du saint esprit. La voiture est repartie dans la nuit, les maîtres bleuissent recouvrant leur esprit à comment gagner des millions. Seul de juste le recueillement se trouve dans le sommeil. Les bons dormeurs n’ont pas la vie plus facile, les jours s’effacent dans l’hiver. Etc. :


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