« Les fléaux physiques, et les calamités de la nature humaine ont rendu la Société nécessaire. La Société a ajouté aux malheurs de la Nature. Les inconvénients de la Société ont amené la nécessité du gouvernement, et le gouvernement ajoute aux malheurs de la Société. Voilà l’histoire de la nature humaine ».  Nicolas Chamfort, Pensées, maximes, anecdotes – LXVII

Jardin d'ogives lactiques
Jardin d’ogives lactiques

(2 commentaires)

  1. La panique la maladresse ont rabougri l’ardeur, la cuirasse s’est resserrée, le sabre s’est fendu, la lame ayant perdu son manche, par quel bout le prendre? Le zeste d’ivresse romantique aura été soudain une funeste camisole de fer, de limaille.
    Antidote:
    Clov : “Fini, c’est fini, ça va finir, ça va peut-être finir. Les grains s’ajoutent aux grains, un à un et un jour, soudain, c’est un tas, un petit tas, l’impossible tas”, il ne se passe plus rien, il y a un remuement vague, il y a un tas de mots mais il n’y a pas de drame.” » Fin de partie / S. Beckett

    Bien à vous cher Delorée!

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