Les sociétés finissent toutes par se rendre littéralement invivables. L’histoire, sans avancer, sans retour, se meurt de tanguer, d’être invraisemblable, vie et mort égales en même temps, virus, guerres, climat, puissances impensables. L’histoire se raconte après, pour rendre vraisemblable ce qui devient le passé. L’histoire tardivement revient au language. Alerte d’un demi-siècle pour se faire entendre, toujours pas déchiffrée un demi-siècle plus tard. Ce qui arrive est le début de la rencontre d’un temps de terreur, application précipitée d’un vieux plan prévu durer cent ans où personne ne descendra du train. Que faire du temps qui nous est imparti ? Si l’histoire est prévisible alors il n’y aura plus d’histoire, on appelle ça l’apocalypse.
Apocalipso facto. 🇺🇦
J’aimeJ’aime