Tombant, le plus lourd réunit, l’apesanteur libère, au bout de quoi nous nous dispersons. À nos destinations d’infortune l’île de la téléréalité ruisselle, inonde nos rêves.
Dans la fièvre des jours nous regardions les hommes plonger, le plus courant le plus triste des spectacles, le plus inutile. La nuit dernière un rêve de paquebot en naufrage, les containers remplis de carcasses de baleines. À la lune absente des rêves orphelins la nuit d’automne renverse et avale la mer.