Chacun est libre, son jardin qu’il délaisse, chasseur cueilleur à la forêt rendu. D’abord la vue, on y voit un fleuve, des ruisseaux, où construire des parcs, tracer des jardins, et à la place restante une longue et large allée qui sinue afin d’éloigner les maisons.
On pourrait tenter de reconstruire en partant de ce qui était au début, avant qu’il y ait des maisons, d’être pris en miettes. On pourrait penser que l’inventivité et le plan de la vie augmente les chances de l’improbable. Que la vie mange les origines et est mangée par elle. Qu’elle détruit à mesure pour accueillir et étendre le plan du présent.