Aux messes d’enterrement c’est la vie qu’on enterre, on oublie la mort, la morte, on ne peut pas on se condamne, derrière au ciel feu le pape, un rideau de fer couvert de fleurs, on ose pas ouvrir les parapluies, on se sent chair enlacée et nouée dans un ornement, on a le vent qui nous étouffe, on ne voit pas d’où il souffle, les vitraux ont souffert de la grêle, on attend que la pluie passe on se casse on la fend, retour massacrant.
dans VENTS MAUVAIS