Des traces recueillies sur son journal intime qui le creusaient encore, comme les ondes provoquées par une pierre lancée dans l’eau, avant que la surface redevienne inchangée. Façon d’enfouir le temps, de rendre tout égal, continu, sans âge.
Dans la masse d’eau sombre lourde dormante qui frémit par endroits par quelques vagues d’air rayonne un vague filet à la perpendiculaire du ciel sous la blancheur d’une nuée de nuages éclatants.
Depuis ce sentiment que le temps n’existe pas la mort peut attendre. Pour autant aucun cadeau ne sera fait. Comme ne faire qu’arriver en retard, cogné au passage par les chutes d’eau des falaises.