Deux vérités que les hommes ne croiront généralement jamais: on n’est rien et on ne sait rien. Ajoutez-y la troisième, qui dépend pour beaucoup de la seconde: il n’y a rien à espérer après la mort. Giacomo Leopardi, le 16 Sept. 1832 (Zibaldone, Traduit de l’italien, présenté et annoté par B. Schefer, éd. Allia – en intégralité ici )