Le lever du jour est magnifique, épiphanie d’une rose, le vide des mots vides se fiance au silence. Je pense à Rosset qui parle des « inmediaciones » (immédiatetés) ; « doubles de proximités », « de seconde espèce », « doubles mineurs » autant d’attributs du réel sans lesquels les apparences deviendraient fantomatiques (le brouhaha fait écran, pitance à pensum). La tombe de Ozu, anonyme, est gravée du seul caractère 無 (mu) « le rien constant».
dans CINÉ, Yasujiro Ozu
Message : vidéo bloquée en France pour des raisons de droit d’auteur.
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mince ! pour la Suisse c’est ok…
merci Gilles
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Oui, car le film contient du contenu (si je puis dire !) de Bac films et Victor entertainment.
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