(j’insiste) parce que la course du tracteur (25’35) suivie de la lecture de Davide Longo l’homme vertical m’a fait déraillé dans mon sommeil où j’ai du me réveiller des catacombes du ciel et faire la part des choses, me rendormir.
Caméra qui passe invisible, qui a perdu de son pouvoir de rendre, d’un coté et de l’autre de l’écran, dépendant, interdépendant. Le cours du temps est un entrelacs qui avale ce qui lui passe par la bouche et les yeux, qui fait signe, de loin. Son rêve serait celui d’un cheval, et nous sur son dos sommes sauvés !